Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: ml_77

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 23 capitoli

Pubblicato: 01-07-07

Ultimo aggiornamento: 29-09-08

 

Commenti: 96 reviews

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GeneralRomance

 

Riassunto: Kaori a besoin de montrer qu'elle est une bonne partenaire. Elle accepte le travail de Saeko, mais ce travail va se révéler pénible pour nos deux héros. ( première fic....) Enfin terminée!!!

 

Disclaimer: Les personnages de "Une mission pour Kaori" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Une mission pour Kaori

 

Capitolo 14 :: petite soirée au restaurant et l'impromptu

Pubblicato: 11-11-07 - Ultimo aggiornamento: 11-11-07

Commenti: Coucou à tous, désolée pour le retard... Un mois au moins.... Mais pour ce chapitre je me suis inspirée un peu de l'ambiance du gala de mon école (qui était hier) et ça m'a permis de finir ce chapitre que je n'arrivais pas à terminer... Un énorme merci pour les reviews, plus rares, mais j'ai aussi ma part de responsabilité... Un chapitre un peu plus long que d'habitude pour me faire pardonner... Bisous à tous et plus vous m'envoyez de reviews plus je serais rapide... Lol (chantage affectif....)

 


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A peine, était-elle sortie des coulisses que Xavier lui tomba dessus… :  

- Oh Kaori vous êtes magnifique, splendide, sublime… je crois que je n’aurais jamais emmenée une femme aussi belle que vous dans un restaurant, je suis vraiment…  

- Heu et si on y allait  

- Bien sur… Elle lui avait coupé la parole, comment osait-elle ?? Xavier avait un petit rictus, que Kaori avait remarqué… Elle l’avait fait exprès, elle n’avait jamais apprécié les baratineurs, et elle voulait profiter de sa soirée pour savoir si le patron était le coupable. Il fallait le pousser à bout… Il fallait juste qu’elle évite de rougir et tout se passerait bien. Elle respira un bon coup et suivit Xavier  

 

Elle monta dans la « modeste » voiture de son patron. Une mercedes grise métallisée, avec très certainement un moteur puissant et une foule de gadgets, tous plus inutiles les uns que les autres. C’était lui qui conduisait, par choix. Il n’avait pas de boîte automatique, mais Kaori comprit qu’à chaque passage de vitesse il essaya de la toucher… elle dut se calmer pour ne pas lui balancer sa massue « punition divine ».  

 

Enfin arrivés, elle sortit de la voiture, sans attendre que Xavier lui ouvre ma porte :  

- Mais ma chère je me dois de vous ouvrir la porte, les gentlemans doivent faire preuve d’un minimum de savoir vivre.  

Elle ne savait pas quoi dire… Du savoir-vivre, dans le milieu, ça n’existe pas… Et puis à quoi ça sert… Non franchement…  

 

Elle suivit Xavier, qui la mena à sa table et la fit asseoir en lui tenant la chaise. Elle se dit qu’il avait vraiment besoin de se sentir indispensable. La soirée risque d’être longue  

 

Pendant ce temps, le cabaret était ouvert. Ryô attendait « patiemment »… Il tournait comme un lion en cage en attendant Kaori. Il ne savait pas qu’elle avait un rendez-vous… Il commençait vraiment à s’énerver… Mick essaya de le distraire sans succès. Au bout de 25 minutes sans avoir eu de nouvelles de Kaori, il se décida qu’il fallait savoir. Il s’approcha des coulisses, et fut accueilli chaleureusement par le vigile qui avait eu la « chance » de le rencontrer quand il cherchait Kaori l’autre jour.  

 

Il réussit même à garder un visage sérieux quand il rencontra Rose en string qui le salua. Il chercha sa belle dans le moindre recoin, et constata que la lumière du bureau de Xavier n’était pas allumée. C’était trop de coïncidence pour notre nettoyeur. Sans prévenir Mick, Il alla chercher sa voiture, qui contenait le récepteur du mouchard de Kaori. En espérant qu’il fonctionne… Quoi se dit-il, elle est dans un restaurant français… Mais que fait-elle là-bas…. Oh non, de dit-il en accélérant, elle avec ce rosbif. Elle peux pas être prudente un seul instant, il faut que j’aille encore la chercher… Il disait cela pour se convaincre lui-même et se donner une contenance, mais il était inquiet pour sa partenaire. On ne savait à quel point Xavier pouvait être dangereux.  

 

Pendant que Ryô appuyait sur le champignon, Xavier sortit la totale à Kaori : repas succulent et de luxe… Au menu : ravioli de saumon en entrée, homard et langoustine, et pour le dessert un suprême au chocolat. Kaori trouvât cela très bon, mais jamais Ryô aurait pu manger ici… Il serait part, en ayant juste « combler sa dent creuse »… En pensant à son partenaire Kaori soupira…  

 

Au même moment un homme grand et bien bâti, forçait les grooms pour atteindre le restaurant, dans lequel était sa belle. Quatre hommes ne suffisaient pas, et il rentra avec une facilité déconcertante. Tout de suite il la vit. Bien qu’assise, elle était vraiment belle, et la robe lui allait vraiment très bien en la mettant en valeur (NDA : et non pas elle était belle ce soir, puisqu’elle l’est tout le temps…). Elle leva également les yeux et lui décocha un de ses plus beaux sourires. Mais elle pouvait percevoir sa colère. Elle s’excusa auprès de Xavier, elle sortit une excuse bidon pour aller voir Ryô qui s’était caché dans un couloir, pour ne pas que le compagnon d’un soir de Kaori le voie. Pourtant l’anglais percevait un net changement dans l’attitude de Kaori. Elle était plus… Il ne trouvait pas de mots, elle était différente plus chaleureuse, et avait l’air d’un coup plus heureuse. Il inspecta les verres de Kaori, peut-être le vin qui la met dans un état différent. Mais il constata qu’elle avait à peine trempée les lèvres. Il se dit qu’elle avait toujours été différente, mais c’est ce qui faisait son charme…  

 

Kaori ne savait pas exactement où se cachait son partenaire. A peine fut-elle à proximité, elle se sentit happée par des bras puissants, et pour éviter qu’elle ne pousse un cri de surprise, Ryô posa ses lèvres sur les siennes. Elle se trouva coincée entre le mur et un Ryô qui avait transformé sa colère, en un désir pour sa partenaire. Pendant qu’il l’embrassait avec passion ses mains se baladaient sur le corps de Kaori. Cette dernière qui eut soudain la conscience d’où ils se trouvaient, murmura un « Ryô » plaintif. Il s’arrêta, et fit descendre les pans de la robe qu’il avait commencé à relever.  

Pendant que Kaori essaya de calmer son trouble, elle sentit la colère froide de Ryô qui la fixait. Un silence pesant s’installait. Kaori mal à l’aise décida de le rompre :  

- C’est sympa de passer me voir, mais…  

- Qu’est-ce que tu fais là ? Et avec lui  

- Bah il m’avait m’inviter, et comme c’est un restaurant que je ne peux pas m’offrir, j’en ai profiter… Elle senti le regard glacial de Ryô…  

- Tu sais que cet homme est dangereux, on se sait pas à quel point mais il l’est, et toi tu en profites pour faire n’importe quoi…  

- J’avais un mouchard, bien caché…  

- Tu crois que ça suffit ?  

- Oui puisque tu es là. Dit-elle avec un sourire  

- Ah lala que vais-je faire de toi ? Il réfléchit quelques secondes, et à la grande surprise de la jeune femme, il passa un bras autour de ses genoux et un autre autour de ses épaules. Maintenant je t’emmène chez nous…  

- Mais… Je ne peux pas partir comme ça…  

- Oh si tu peux… Je te donne 30 secondes pour lui dire au revoir…  

- Mais  

- Pas de mais qui tienne, je t’attends ici..  

 

Ryô poussa gentiment Kaori vers sa table pour lui donner courage. Elle ne prit pas la peine de s’aaseoir :  

- Xavier je suis sincèrement désolée, mais je dois partir maintenant….  

- Mais quelle dommage, nous n’avons pas encore discuté de votre prochain contrat…  

- Je dois vraiment y aller, mais on se voit demain…  

- Bon bon je vous souhaite une bonne nuit  

- Merci vous aussi, à demain.  

 

Elle partit pendant que Xavier buvait son café, oui demain sera une journée importante.. A peine Kaori eut elle rejoint Ryô, elle sentit une main sur ses reins, et elle était collée à lui. Ils sortirent sans rien dire. Ils se dirigèrent vers la voiture, quand Kaori ralentit dangereusement, Ryô s’inquiéta immédiatement :  

- Kaori ça ne va pas ?  

- Heu si, mais c’est la faute de ses affreuses chaussures, je n’en peux plus. Elle commença à les enlever, c’est pas grave, je vais marcher avec mes bas…  

- Je vais préserver ta lingerie… Il la prit dans ses bras et la porta, comme un princesse à son carrosse. (NDA : Quoi que peut-on comparer l’Austin à un carrosse ?) Mais tu me dois quelque chose  

- Il n’y a plus de désintéressement à notre époque…  

- Tu ne sais même pas ce que je vais te demander. Il la déposa délicatement dans la voiture et ferma la portière, avec un sourire mi-sérieux mi-libidineux.  

 

 


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